Travailler chez Europabank
Travailler dans une banque : quatre clichés mis à mal
Travailler dans une banque ou une agence bancaire a l'air sérieux et formaliste. Ce cliché a-t-il une part de vérité ? À l'occasion de la Journée internationale des banques, nous avons posé la question à Umay Buzlu, Axana Decraene et Alper Gürbüz, employé·es d'Europabank, qui viennent tordre le cou aux idées reçues qui entourent les emplois du secteur bancaire.
Umay Buzlu et Axana Decraene occupent depuis un peu plus d'un an une fonction commerciale dans une agence Europabank en centre-ville de Gand. C'est leur premier emploi.
Alper Gürbüz, quant à lui, a travaillé dans une petite société médicale avant de rejoindre la banque. Avec ses deux collègues, il déconstruit certains clichés qui ont la vie dure sur l'emploi dans le secteur.
Cliché 1 : la formation préalable
La réalité : le boulot est plus accessible qu'on ne le pense
Umay a obtenu son bachelier en finance et assurances. « Le monde bancaire est un univers qui m'intéressait déjà », explique-t-elle. « Et finalement, je dois dire que ma fonction correspond à mes attentes. » Arrivée à la banque en tant que jeune diplômée, elle a reçu une formation intensive et complète.Pourtant, ce n'est pas nécessaire d'avoir bénéficié d'une formation financière préalable, comme le démontre bien Alper, qui a rejoint Europabank il y a maintenant près de six ans. « Au moment où je suis arrivé à la banque, mon expérience dans le domaine bancaire était inexistante, mais Europabank m'a soutenu en m'offrant un vaste parcours de formations adaptées. On apprend à maîtriser la théorie avant de passer à la pratique, pour ensuite enchaîner avec d'autres aspects théoriques », explique-t-il. Responsable de la formation des jeunes diplômé·es qui arrivent dans son agence située Nieuwewandeling à Gand, Alper sait de quoi il parle.
Mais la formation n'est pas le seul point fort d'Europabank en termes d'accessibilité. Il y a aussi l'emplacement du siège social de la banque en plein centre-ville de Gand et ses 47 agences réparties sur tout le territoire, qui sont souvent très bien situées et facilement accessibles en voiture, vélo ou transports en commun. Sur ce plan, Axana Decraene a un trajet domicile-travail de rêve. « J'habite dans la rue de mon agence. Le soir, cela ne me prend que cinq minutes pour rentrer chez moi », précise-t-elle.
Cliché 2 : l'environnement formaliste
La réalité : le boulot est plus social qu'on ne le pense
Europabank est une banque au dynamisme d'une PME. « Comme nous sommes une plus petite banque, la distance avec le siège est moins marquée », estime Alper.
« Europabank se caractérise par son ambiance accueillante et familiale. Les collègues ne sont jamais très loin. Dans notre agence, nous sommes une équipe soudée de sept collègues qui se complètent », ajoute Umay. « En plus, nous sommes régulièrement en contact avec la clientèle, souvent dans l'agence même, mais aussi par mail ou par téléphone. Dans mon travail, je tiens beaucoup à la joignabilité. Nous sommes une banque à taille humaine, où les clients sont toujours les bienvenus, même sans rendez-vous. »
Cliché 3 : l'emploi spécialisé et monotone
La réalité : le boulot est plus diversifié qu'on ne le pense
Être employé·e de banque, c'est avoir un emploi diversifié. Chez Europabank, c'est d'autant plus le cas. Titulaire de deux bacheliers en gestion du bien-être et de la vitalité et en gestion des affaires internationales, Axana a tout de même opté pour un emploi financier et confirme : « On apprend ici un peu de tout : épargne, crédit, leasing, renting, succession, compte à terme et j'en passe. »Umay ajoute : « Chez Europabank, nous ne sommes pas spécialistes d'un seul domaine. Comme tout le monde en agence s'y connaît dans toutes ces matières, chacun ou chacune d'entre nous est à même d'aider les clients qui passent poser une question en agence, quel qu'en soit l'objet. De manière générale, il y a toujours quelqu'un à leur écoute. »
Cliché 4 : les maigres perspectives d'évolution
La réalité : vous tenez les rênes de votre propre parcours professionnel
Alper est la preuve vivante de la possibilité de s'épanouir et de faire promotion au sein de la structure horizontale de l'agence bancaire. « Après trois ans de conseil commercial, le siège m'a demandé si je ne voulais pas en plus m'impliquer dans la formation des jeunes diplômé·es qui arrivent chez nous. » C'est d'ailleurs ce qui lui a permis de passer cadre et de devenir le bras droit du directeur de son agence. « Cela fait du bien de savoir que mes efforts se sont fait remarquer et m'ont permis d'évoluer », souligne-t-il.
Il est tout aussi possible d'évoluer au sein de sa fonction actuelle. « On se voit offrir les outils nécessaires à l'autoformation afin de prendre son parcours professionnel en main », explique Alper. « À la banque, on tient les rênes de sa propre carrière. »
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